EDITO : Au bout du souffle

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Il est temps de regarder la réalité en face : notre pays traverse une crise sans précédent. Le chômage a atteint un niveau jamais égalé, laissant des milliers de familles dans la précarité et l’incertitude. Cette situation appelle à une prise de conscience collective et à une action déterminée. Chaque jour, des entreprises ferment leurs portes, plongeant des travailleurs dans le désarroi. Les files d’attente devant les agences pour l’emploi s’allongent, tandis que notre gouvernement semble peiner à apporter des réponses adaptées à cette détresse croissante. Les jeunes, notre avenir, sont particulièrement touchés, souvent contraints à des emplois précaires ou à l’inactivité

Nos infrastructures vieillissent, nos services publics s’affaiblissent, et notre système de santé, lutte pour répondre aux besoins les plus élémentaires. Cette situation n’est pas le fruit du hasard, mais de choix politiques qui ont manqué de vision et de préparation pour l’avenir. Le pays est au bout du souffle. Nous le voyons chaque jour : il est à terre, et l’espoir s’amenuise. Comment avons-nous pu en arriver là ? Pas de travail, pas d’eau, pas de courant, pas de pluie, et aucune initiative sérieuse pour promouvoir les jeunes ou les femmes. Alors, que faire pour sortir de cette impasse ? Il est impératif de mettre en place des réformes structurelles pour revitaliser notre économie et moderniser nos infrastructures. Nous devons investir dans l’éducation et la formation professionnelle pour préparer nos jeunes aux défis de demain. L’accès à l’eau et à l’électricité doit être une priorité absolue.

Nous ne pouvons plus attendre. Il est temps d’agir avec détermination et courage. Nos dirigeants doivent montrer la voie en prenant des mesures concrètes et en mobilisant toutes les ressources disponibles, c’est une urgence