FEMMES AUX GROSSES FESSES : Un des pires malheurs des hommes
4 octobre 2019Les femmes au postérieur bien fourni, n’ont jamais laissé de répit aux hommes. Certaines femmes, conscientes de l’effet ‘satanique’ que leur postérieur abondant exerce sur les hommes, ont fini par en faire une marchandise qu’elles n’hésitent plus à exhiber devant le premier venu ou même la commercialiser au plus offrant. Les hommes, notamment, ceux dont le vice sexuel dépasse tout entendement humain et qui, à force de voir en cette ‘générosité’ morphologique de la femme, la source d’une libido surdimensionnée, y ont fini par être atteints d’une espèce d’obsession qui fasse désormais partie de leurs pires souffrances psychologiques et sociales.
D’un point de vue scientifique, les fesses de la femme, notamment, lorsqu’elles sont suffisamment bien charnues, deviennent la première source d’attirance sexuelle pour l’homme. Pour les hommes éminemment vicieux, c’est encore pire. Chez ces derniers, un postérieur impressionnant peut, même hors de leurs yeux, longtemps rester graver dans leur mémoire visuelle et sensationnelle pour chaque fois réactiver leurs pulsions libidinales. C’est dire à quel point les femmes aux grosses fesses font souffrir ces hommes en silence. Entre femmes, elles-mêmes, c’est aussi une réelle source de jalousie.
Nombreux parmi ces hommes dont certaines personnes critiquent sévèrement la ‘nature vicieuse’, sont, en effet, psychologiquement victimes d’un désordre sexuel qui prenne sa source dans leur histoire infantile et sur lequel phénomène psychique, ils n’ont, eux-mêmes, aucun pouvoir de maîtrise ou domination. C’est pourquoi, il est souvent fréquent de voir des hommes qui, en polygamie, se marieront jusqu’à 4 femmes, toutes au postérieur remarquable, mais qui, par insatisfaction ‘maladive’, iront entretenir des relations extraconjugales avec d’autres filles pour les mêmes besoins de fesses.
Un homme qui court après les fesses, équivaut à une femme qui court après l’argent des hommes
La frivolité sexuelle qui caractérise l’homme maladivement attiré par les fesses d’une femme, équivaut à la frivolité d’une femme maladivement attirée par le matériel des hommes. En d’autres termes, un homme qui n’aime une femme que pour son postérieur, la source première de tous les vices sexuels, sera inexorablement attiré par des milliers d’autres femmes du genre. Une femme qui n’entretient de relation qu’avec les hommes matériellement stables, entretiendra naturellement des milliers d’autres relations avec des hommes bien aisés. A chacun donc de tirer les conclusions de sa propre relation avec son conjoint ou sa conjointe au risque de se laisser désagréablement surpris un jour pou l’autre.
La boulimie masculine des fesses, a conduit certaines femmes s’adonner à des produits pharmaceutiques pour mieux arrondir leur maigre postérieur et y conférer des formes esthétiques plus gracieuses afin de faire vivement désirer par les hommes. Certains vont jusqu’à se soumettre à des chirurgies combien risquées pour se tailler un postérieur prestigieux et avoir le maximum d’hommes à leurs pieds. Ces catégories de femmes voulant coûte que coûte avoir de grosses fesses, en font souvent, non seulement, une source de célébrité sur les réseaux sociaux, mais aussi, une arme de marchandage sexuel au service des plus offrants. Certaines d’entre elles en tirent déjà bien des profits !
Cela explique, de nos jours, la floraison de stars au postérieur hallucinant et qui soient parmi les célébrités féminines les plus suivies sur les réseaux sociaux au Mali et dans la sous-région. Pour ces stars féminines, le mariage est une « perte de temps », car, elles voudraient engranger le maximum de ressources financières en ne se faisant âprement désirer que par de riches hommes pervers. L’un des plus gros malheurs sociaux des hommes, vient justement des effets désastreux causés par l’attirance obsessionnelle, impitoyablement exercée par les femmes fessues sur d’innombrables hommes.
SCÈNE NATIONALE : L’ex-PM, Moussa Mara en baisse de popularité
Après de longues années de collaboration, Moussa Mara, un des ex-Premiers ministres sous IBK, a fini par être politiquement enterré par les plus gros calibres de sa formation politique, « Yèlèma », ceux-là même sur qui reposait toute l’armature du parti. Cadre brillant et homme politique admiré notamment pour son courage et ses convictions, au regard de son jeune âge, l’ex-Maire de la Commune IV, est manifestement en train de payer pour son égocentrisme viscéral et sa versatilité notoire qui ont sérieusement mis à mal son élan idéologique et moral.
L’avenir politique n’avait jusque-là jamais cessé de sourire à Moussa Mara. Sa volte-face hallucinante à travers son ralliement électoral inattendu en faveur du Docteur Cheick Modibo Diarra, lors de la présidentielle de 2018, aura été l’un des débuts marquants d’une descente aux enfers pour le président du parti « Yèlèma ». Ses militants, désagréablement surpris, voire, déçus par une décision quasi-unilatérale, ont progressivement lâché Moussa Mara, qualifiant son alignement de « trahison » contre la base. Mais Mara n’en n’avait cure et continuait à gérer le parti comme un patrimoine privé.
Plus tard, suite à sa collaboration avec l’astrophysicien, lequel rapprochement s’est également terminé en queue de poisson, revoici le même Mara aux côtés du régime IBK qu’il avait pourtant qualifié de tous les échecs avant et pendant la campagne présidentielle. Avant son alliance avec le Docteur Cheick Modibo Diarra, Moussa Mara, en qui, de nombreux maliens avaient placé une confiance aveugle de leadership, n’avait pas hésité à trahir antérieurement plusieurs autres alliances politiques qu’il avait scellées avec d’autres chefs de partis, notamment, ceux du Bloc « Les Bâtisseurs ».
Moussa Mara qui avait officiellement affirmé son adhésion audit bloc politique, a mystérieusement effacé sa présence sans explication convaincante. Mais, à l’époque, cela n’a guère été étonnant pour ceux parmi les leaders du bloc « Les Bâtisseurs », qui s’étaient jusque-là bien habitués aux interminables et habiles doubles jeux de l’ex-PM. La propension de Moussa Mara à ne pouvoir pas durer dans une alliance ou mouvement politique dont les rênes ne lui sont pas confiées, fait de lui, un homme politique avide de leadership et avec qui les alliances ne font jamais long feu.
C’est fondamentalement d’ailleurs ce qui l’a constamment isolé dans le landerneau politique malien où Moussa Mara n’a cessé de voir les autres leaders comme ceux-là devant toujours se mettre à ses pieds. Au sein du parti Yèlèma, l’égocentrisme anti-démocratique de l’homme, où seules ses décisions comptaient le plus souvent, a conduit à un conglomérat de frustrations au sein du parti au détriment d’autres cadres qui se voyaient chaque fois occuper les seconds rangs dans les instances de décisions. Et c’est le départ massif de ceux-là, parmi qui certains étaient ses plus proches collaborateurs, qui mettra Moussa Mara en lambeaux, hypothéquant ainsi son avenir politique malgré ses talents.
Aujourd’hui, les multiples trahisons perpétrées, aussi bien contre ses adversaires que contre son propre camp, auront valu à Moussa Mara d’être lâché par une avalanche de partisans au profit d’autres formations idéologiquement plus stables et promues à un meilleur avenir politique au Mali. Moussa Mara, autrefois admiré pour la pertinence de ses idées politiques, notamment, sa vision pour la construction d’un Mali nouveau, équivaut désormais à une feuille morte ne pouvant plus se régénérer.
Son charisme, la force de ses convictions, son engagement patriotique et la brillance de ses idéaux, auront cependant été de vains espoirs pour ces milliers de maliens qui voyaient en l’homme, l’incarnation d’un renouveau générationnel. Moussa Mara ne semble dorénavant se mouvoir qu’en fonction de la direction du vent, ses horizons politiques étant devenus effroyablement sombres.
223infos.net avec le bihebdomadaire La Sirène